Un musée pour moi seule

Plaisir de l'éclosion du dernier de mes rosiers, le rescapé qui s'entête à ne pas mourir.

Et dans l'après-midi, comme parmi les réouvertures il y a aussi les musée, départ sous ciel bleu strié de fusées blanches au long de la rue Joseph Vernet, passant vertueusement devant les boutiques de mode qui ne me concernent plus,

saluant Calvet et sa belle grille pour aller, juste à côté, dans le plus humble hôtel Raphaélis de Soissans à mon cher Museum Requien (j'aime son côté Cabinet de curiosités, ses vitrines, les écriteaux vieillots, même si comme j'ai une âme d'enfant mais d'enfant un peu cancre, je ne les lis qu'exceptionnellement) fondé par Esprit Requien pour ses collections d'herbiers, de malacologie, de paléontologie.

Et n'en ai gardé de quelques (trop, êtes prévenus, mais tout de même quelques images) que je pose ici telles que, quasi sans mot... sauf pour signaler l'exposition, qui devait ouvrir en janvier de Carole Challeau http://carole.challeau.free.fr/ et Antoine Depaulis (ne sais ce qui revient à l'un ou à l'autre)

exposition vue en introduction avant de passer, dans ce musée où j'étais seule, aux salles qui exposent à leur public d'enfants (ou parents, ou grands enfants) les roches diverses de la région, des fossiles, des moulages, etc...

avec dans les dernières salles, vouées aux insectes et abeilles (le 2 mai étant la journée mondiale des abeilles) et dans la suivante « l'atelier du taxidermiste » des écriteaux destinés à calmer le cœur des enfants sensibles ou à apprendre le respect de la vie aux autres.

Et puis m'en suis allée à la Fnac choisir un livre d'exercices de français niveau CM2 que Djouma sera prié de garder...