peu de mots – matin vent léger – le bleu s'affirme
(quelques affiches des théâtres locaux apparaissent mais la carte du off ne sera disponible que dans trois jours)
faire tirer photos du chat des enfants algériens – tourner un peu parce que j'avais mal noté adresse – rencontre chaleureuse (toujours) et brève (toujours) avec leur mère
regagner joyeusement l'antre
quinze heure trente, départ vers mon rendez-vous avec la sympathique, dévouée et active jeune femme albanaise, dans la gloire de notre été
et honte à moi, incompréhension ou non, impatience, fatigue, stupide égoïsme, au bout d'une petite demi-heure d'attente suis repartie en colère (honteuse au bout de quelques pas, et au bord du malaise parce que la colère par temps chaud ce n'est pas malin)... retour sourire figé, m'allonger, confuse suis.
coup de téléphone pour m'excuser et puis à 20 heures appel de M : une fête de la musique organisée par les habitants, m'invite, pas le courage - place aux jeunes.
6 commentaires:
un jour en off avant la vente
très off vais être... mais j'espère juguler ces sautes d'humeur
Les affiches théâtrales vont prendre le dessus sur les affiches électorales.
Félizia aura eu son moment de gloriole, il était peu connu, il peut retourner maintenant en coulisses... ;-)
et je ne vais pas voter ç contre-coeur (Felizia m'étant inconnu et le reste de la liste vue d'un oeil favorable) par sa tête de liste "Vaucluse" un de ces verts politicards qui me feraient détester toutes les bonnes causes (y comoris quand il se servait de Rosmerta)
Belle introduction sur ciel moutonneux où un arbre entre en scène.
Belle conclusion sur son ombre affalée sur et hors d'un banc public.
Entre les deux : une vie en partage, une vie en devenir, une vie qui s'étire et s'effile, une VIE.
une vie comme peux (et c'est branlant)
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