Samedi matin, nous avions décidé que pendant que les autres nageraient (longtemps que j'ai censuré le maillot) j'irai voir ce qu'expose l'annexe de la Villa Noailles... mais ma foi, lassitude qui se souvenait d'avoir été, charme du canapé et de la table assortis au petit sac protège Kobo... suis restée tranquilou et j'ai fini de relire « Coup de tête » de Guillaume Vissac https://www.publie.net/livre/coup-de-tete-guillaume-vissac/ (c'est ce qu'avait, avec raison, décidé le Kobo dans le train) en tentant vaguement de différencier la tortue de passage de la précédente.
TGV en fin d'après-mdi (nettement moins agréable que les deux TER de l'aller) et six paumés dont moi cherchant la navette vers la gare centre pour laquelle ils avaient un billet alors qu'elle n'existait pas... très fière ai pris le commandement parce que, oui prendre un bus pour la poste c'était la même chose). Retrouvé même lumière qu'à Toulon, un degré de plus peut-être et des visages unanimement nus... me suis sentie à la maison.
Matin... n'avais plus comme fruit et légume qu'une pomme et un bout de céleri rave et aucune envie de les absorber, ai pris couffin et m'en suis allée rafraîchie par un petit vent qui jouait avec les dernières affiches (ménage ce soir et lundi je pense)...
plaisir de deux petits piapias, suis rentrée couffin plein, j'ai tenté de faire de la cuisine comme sait la faire ma sœur, mais avec mon absence de méthode, pour un résultat couci-couça et trop abondant... longue sieste (devient le nœud de mes activités) – écrit, euh, un peu comme je cuisine, la branche « solitude » du #P6 de l'atelier d'été, mis en ligne... pas osé penser à la version « faire un livre » dont je suis de plus en plus certaine que ce n'est pas pour moi, pensé, juste pensé, au repassage... au programme d'un mañana dont j'espère qu'il aura nom lundi... et avec juste un petit sentiment de honte, en écoutant des pièces pour luth de Dowland, ai lu à la file sept ou huit "live" du Monde aux jeux olympiques.
Le soleil descend chaque jour un peu moins bas sur le mur de la cour et s'y attarde de moins en moins.
10 commentaires:
Toulon et sa célèbre statue sur le port...
Vous avez raison : un pied n'est jamais qu'une tortue un peu plus rapide. :-)
En TER, TGV ou Bus reprendre son train-train le cabas rempli.
oh Dominique ! quel plaisir de vous lire
même simplement ici
vous manquez à mes matinées
Pierre, pas trop rempli... il fait penser au retour, l'âge rend sage (sourire)
Sourires en te lisant. Au fond l'Homme est un animal qui rejoint toujours avec plaisir sa tanière et tu dis se" retrouver chez soi" ... c'est exactement Toulon pour moi en arrivant et voir juste un bout de mer ou un panneau
Arlette, souvenir d'une arrivée en voiture et de la clameur qui enflait en approchant de Mayol... et puis du moment où on débouche sur le boulevard et où on voit le petit port et le fort Saint Louis
Pour moi, le souvenir sera le trajet en autostop (j'ai écrasé les fruits du routier sympa en grimpant dans sa cabine) et en bus du circuit du Castellet et en bus jusqu'à un petit hôtel qui donnait directement sur la mer où je n'ai pas mis les pieds #Toulon1983
Claudine... la ville peut vous attendre (sourire)
Vu ce matin dans mon jardin :
les céleris-raves en embonpoint :-)
bientôt je pourrais cueillir ;-)
sandale et tortue - jumelles
heureusement pour mes petons les sandales sont moins rigides que la carapace (mais oui elles se tutoient)
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