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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, septembre 25, 2022

Pharmacie, économie, habitées


Une petite frousse cette nuit en voyant, en m'extrayant de mon jean, jaillir du sang de ma jambe (une veine amochée) nettoyer sol, panser comme pouvais et m'en aller matin après avoir changé drap et vider la cour qui allait m'inonder dans un Avignon trempé jusqu'à la pharmacie, examen, beaux grands pansements, et ordre de montrer cela à un médecin, appellerai lundi, mais petite forme et la visite d'une exposition de C'est pas du luxe à la Collection Lambert abandonnée (mais sourire à l'idée de plage ensoleillée en passant devant une galerie)


récupérer cependant assez pour partir sous ciel grincheux mais sans pluie vers Rosmerta et mon rendez-vous avec un garçon qui manie encore mal l'orthographe (pas de lien fait entre l'oral, le sens des mots et l'écrit) et prépare un CAP ou quelque chose de ce genre en économie... un peu plus de deux heures (avec un moment pour la visite de mn grand faux petit fils avec lequel j'avais un rendez-vous) en essayant de ne pas faire de mauvais esprit sur la productivité, l'importance de l'innovation, de l'investissement, de l'organisation du travail et tout de même du capital humain (du moins pour l'éducation | les analphabètes ce n'est pas souhaitable | et la santé ce qui nécessite un Etat capable de s'en charger)...


et un retour dans la lumière, pour reprendre une partie de la suite de mon circuit de vendredi,


en continuant la rue des Lices jusqu'à la rue des Teinturiers et la chapelle des Cordeliers pour l'exposition, baptisée « les habitées » des œuvres des participants à l'atelier de la Gribouille (Toulon) https://www.kaire.fr/accueil/atelier-la-gribouille/ dirigé par Caroline Dehaye

« Que livre notre Habitat : refuge, reflet de nous-mêmes, lien avec les autres ? Voyage dans des univers contrastés et poétiques : de la cabane mystérieuse, aérienne, à celle brinquebalante, imprévisible, ou à l'électro-mégapole étrangement végétalisée (photo loupée et jetée). Espaces labyrinthiques fixés à perte de vue par des visages immobiles, mais aussi demeures intimes où se niche la singularité de chaque artiste. »


ainsi que les siennes (les images les moins loupées de mes tentatives en parlant avec elle de son travail et de Toulon et Saint-Jean du Var)



6 commentaires:

mémoire du silence a dit…

Oh ! Quelle richesse, j'aime cette créativité ... merci pour ce partage
Quant à vous, prenez soin de vous ... cool cool ...

Brigetoun a dit…

et bien aimé parler avec cette femme (ce qui est rarement le cas avec une artiste qui expose)

Christine Simon a dit…

Merci pour cette belle balade malgré tout.

Brigetoun a dit…

merci Christine

Dominique Hasselmann a dit…

@ brigetoun : encore un atelier... mais vous n'y participez pas, je pense, sinon il faut réclamer la semaine des 32 heures (même si ça ne plait pas aux stakhanovistes du gouvernement actuel) ! ;-)

Brigetoun a dit…

non là c'est un ateliers pour gens paumés un peu, plus ou moins, de Saint Jean du Var, un quartier assez populaire de Toulon