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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mercredi, juillet 03, 2024

Festival — jour 4 — ce peu à dire avant la nuit


 Matinée que vouais à la lecture d'au moins les contributions d’un ami à l’atelier...  mais en me réveillant, en trébuchant mes premiers pas, en finissant la seconde tranche de pain, me suis souvenue d'une course à faire, mais j’ai regardé sur le programme papier du festival, que j’avais pris hier à la maison de Vilar, d’où partaient cette année les navettes pour Boulbon et cru deviner qu’il fallait acheter son billet au Cloître Saint Louis, mais j’ai poireauté longuement en tentant de vaquer en même temps avant d’avoir confirmation par un charmant garçon qu’il n’en était rien mais que par contre, désolé, il n’était plus possible maintenant de réserver pour assister à la nuit de solidarité dans la cour du Palais qu’un ami syndicaliste avait évoquée avant qu’elle soit complètement organisée et dont j’avais eu confirmation par une feuille jointe au petit programme de salle distribué avant le Quichotte…

en suis marrie, re-tenterais peut-être sir place, mis il était déjà tard quand m’en suis allée dans un vent de belle force faire mes deux petites courses, 



mais, coup de faiblesse, alors que mon appareil de photo m’affirme de plus en plus fréquemment qu’il ne ressuscitera pas éternellement et que je risque à tout moment de me retrouver sans ce qui ma foi représente une jolie somme imprévue même si l’ordi lui prolonge sa vieillesse, j’ai finalement cédé à l’appel chaque matin d’une petite veste très soldée rue Joseph Vernet ramenée dans une bouffée de joie absurde, mais j’ai cuisiné en écoutant la vidéo de François Bon pour le #12, et me suis lavé les cheveux pendant que ça cuisait, mais j’ai piqué du nez sur mon assiette de pâtes, mais je me suis allongée, mais en me relevant plus d’une heure plus tard je me suis battue avec  de vagues souvenirs et mes mains pour écrire le plier tiers du  12 — ne sais quand pourrais écrire le reste. — , mais il était si tard que je n’ai eu le temps de lire que les deux premières contributions de l’ami avant de préparer ceci, de me changer, de préparer sac, billet, médicaments potentiellement nécessaires, et de partir vers la poste et la navette qui part très très en avance sans doute pour permettre  à ceux qui le veulent de dîner à Boulbon avant d’assister aux deux heures d’ « Hécube, pas Hécube » le spectacle de Tiago Rodriguez avec la troupe du Français.


Pour le moment je recopie le programme sous une photo de Christophe Renaud de Lage 



« Hécube, pas Hécube est une tragédie née entre les lignes d’une tragédie, écrite à même la peau des interprètes de la Comédie-Française. Tiago Rodrigues met en scène la vie de Nadia, qui s’organise entre les planches du théâtre et le parquet du tribunal. Nadia répète Hécube (la pièce d’Euripide) tout en se battant pour que justice soit rendue à son fils, autiste, maltraité par l’institution qui l’a pris en charge. Alors qu’approchent la première du spectacle et le verdict du procès, le monde bascule autour d’elle. Nadia n’est pas Hécube mais sa vie est percutée de plein fouet par la légende de l’ancienne reine de Troie, devenue esclave révoltée contre son sort qui, face à Agamemnon, dut parler au nom de son fils. » que je me fais une joie de cette attente, que je pense que ni Tiago Rodriguez, ni le thème, ni les acteurs et notamment Elsa Lepoivre qui joue Tania…. même si je vais devoir grimper haut sur les gradins pour y assister,qu’en rentrant je me contenterai de mettre ceci en ligne avant de préparer et manger super et de dormir… Les impressions éventuelles remises à demain (journée assez chargée)

4 commentaires:

Elise a dit…

Vous avez bien fait de céder à l’appel de cette veste, lumineuse, confortable, ce sera un plaisir de l’enfiler par ces journées festival exigeantes et stimulantes. Toujours un régal de vous suivre.

Brigetoun a dit…

meci Elise (le fait est que l'ai inaugurée pour la fraicheur et le vent de Boulbon par dessus tee shirt et blouse et que c'était pafait )

Dominique Hasselmann a dit…

Oui, vous aussi vous pouvez vous changer avant d'entrer en scène… "Hécube", "Hécate", "Hélène", "Héloïse"… La H théâtrale a de quoi faire…

La soirée de "solidarité" du théâtre, je croyais que c'était vendredi, non ? :-)

Brigetoun a dit…

onon d'allleux j'étais en faute ce n'sest pas uniquement solidarité c'est surtout revendication culture et peur de ce qu'elle risque avec le brun... organiszée par intersyndicale et le Festival à l'issu du spectacle de la Cour d'gonneur à partir de O heure 30 le 5

là vais déserter, carcasse et mains qui delandent lenteur et repos et programme relativement chargé