commentaires

désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

lundi, juillet 29, 2024

l Chaleur et âge désassortis - une pensée pour Charles Juliet

 


Un peu de ménage, lavage de cheveux, une ébauche de repassage, mais non, j’arrête, d’ailleurs ai trouvé (ou le croyais) bout de texte dans les contributions précédentes pour servir de base au #35 de l’atelier, écrire, quasi contente de moi, cuisine, déjeuner, courte sieste, reprendre le 35, achever, laisser reposer, relire, trouver ça idiot, mettre en ligne cependant, le faisant vérifier sur le site de l’atelier, penser « boudiou », corriger une dizaine de fautes, faire voeu pour qu’il n’en reste pas, penser « moi qui  demain reprends  des cours de français »  — remplacement d’une bénévole. assidue qui part pour quelques jours»… penser aussi « j’espère qu’il fera moins chaud », douche, robe légère




sortir pour me tester, l’ombre est chaude, l’appareil est chaud, la canne est chaude, j’aimais cela autrefois… renoncer aux rives du fleuve et à la traversée du macadam auparavant (c’était idiot, la vue de l’eau rafraîchit) me borner à un petit tour  dans la ville en privilégiant rues à l’ombre… rentrer, demain il fera un peu plus chaud (mais toujours pas les 40° ou plus de l’année dernière) mais je partirai une demi heure plus tard… voir si pour la suite on peut changer l’horaire… l’âge est vexant (sourire) et suis aussi tonique qu’une serpillère usée — à corriger.




Pour un petit hommage à Charles Juliet, ai tendu le bras, tiré « Au pays du long nuage blanc », feuilleté un peu, choisi

J’aimerais aller écrire dans des cafés, mais il me reste à dénicher celui où ne glapirait pas leur satanée musique.

Ces instants où je rejoins ma part la plus intime. Où m’inondent les eaux de la source. La sensation d’être traversé par l’essence de la vie. Définir cette essence est rigoureusement impossible. Mais la gravité de ces instants. C’est elle qui façonne mes mots. M’impose d’écrire avec une certaine voix, sur un certain ton.

4 commentaires:

Pierre NESTOR a dit…

Merci pour Charles Juliet. Bonne journée à vous (au frais !).

mémoire du silence a dit…

Oh ! ce cher Charles Juliet, vous m'apprenez son décès, et cela m'attriste beaucoup... il était une belle personne.

Brigetoun a dit…

Pierre pour le frais c'est loupé - la chaleur choisit de s'intensifier le jour où je reprends la suite d'une bénévole avec plus d'une demi heure de marche au soleil vers 16 heures - vais organiser la suite

Brigetoun a dit…

Maria l'ai appris en retard hier soir en suivant amis Facebook