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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, février 23, 2025

Humidité, circuit court et détours (trop long)


 Un air gorgé d’eau

Une idée d’éternité

dans l’humidité.




Activité matinale suffisante, trop découragée pour la recherche attendue d’idées pour rédiger à peu près passablement une contribution pour le #14 de l’atelier du tiers-livre… abandonnant devant l’impossibilité d’extirper un livre repéré dans la masse… furieuse de la graisse qui accompagne mes forces en reconstitution… 



m’en suis allée vers le Musée Vouland marcher devant les oeuvres exposées dans les deux petites expositions en cours et d’avril celle ouverte le 12 février « circuit court et détours »

Une exposition sous le signe du "local", du mouvement et de la curiosité.

Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland.

Trop de photos… pourtant comme, faute de temps, quelques cartels sont en place  comme certaine oeuvres me déplaisaient  par trop, la succession d’images que vais poser simplement est loins d’être exhaustive



Cela commençait par une série d’études d’assez belle force ramenées d’un voyage en Hollande par Jean-Claude Imbert (1919-1993) alignées sur une table 



face à de longs panneaux d’Auguste Chabaud



avant un paysage avec route d’Auguste Roure



et une grande toile « le café des soeurs Athanase »  d’Eugène Martel (un des seuls artistes qui ait droit à des cartels et fort longs détaillant les conditions de réceptionne l’oeuvre, les circonstances de sa création etc..)



ce qui me permet de penser que ce petit tableau qui m’a plu n’est en tout cas pas de lui (mais ne sais de qui..



comme j’ignore quel est l’auteur de cette tête (mais je soupçonne qu’elle peut être de Jean-Pierre Gras peintre et sculpteur assez inégal auquel est consacré l’autre exposition (que je garde pour, je pense, demain).



Le début du cheminement est consacré à des portraits masculins avec, après trois toiles dont j’ignore quels sont les auteurs



au beau portrait de Raymond Martin par Eugène Martel (daté de 1930)



au grand portrait fort digne d’Achille Moreau par  Clément Brun (date de 1892/93)



et deux portraits (dont une femme) de Louis Montagné



avant des scènes de genre et paysages dont une toile ensoleillée dont je ne connais pas l’auteur



Quatre toiles (mêmes dimensions mais époques différentes) d’Alfred Lesbros 



un pommier d’Eugène Martel dans la propriété de ses parents à  Pierrerousse



et toujours d’Eugène Martel un grand tableau inachevé de 1918 « terrasse du café Bonniol au Revest-du-Bion



un intérieur de ferme de Claude Firmin (l’ai bien aimé)



un paysage de Paul Saïn


une petite toile avec ânes (aime assez) de Pierre Grivolas



Je passe vite devant plusieurs (assez nombreux) jusqu’à une nouvelle route d’Auguste Roure



une vue d’Avignon de Clément Brun



Charles Vionnet (1858-1923)  avec « sous le fort Saint André » de 1911 



une petite toile de Joseph Meissonnier




et j’arrête avec un bouquet de la seule femme Marcelle Legrand (1888-1983)

4 commentaires:

Miche a dit…

Merci Brigitte pour cette visite.
"et j’arrête avec un bouquet de la seule femme Marcelle Legrand (1888-1983)"
Je me suis posée la question : pourquoi les femmes sont si peu nombreuses dans l'art ?
J'ai lu cet article 'https://parkstone.international/2020/03/13/les-femmes-et-le-monde-de-lart-pourquoi-sont-elles-si-peu-nombreuses/)...
Et puis finalement je me dis que cela dépend de ce que l'on nomme "art" dans notre culture.

Bon dimanche à vous
🌹

Brigetoun a dit…

oui Miche et bon dimanche à vous

jeandler a dit…

Une époque qui faisait son cinéma . . .

Brigetoun a dit…

merci Pierre - en fait en gros ça va de 1850 à 1950