Salade russe que ne saurais juger

 

Départ matin fort tard dans les rues de la ville

et, suis navrée, trop d’images encore même si sans doute il y a ce jour un peu moins de mots, je poursuis avec images de mon cheminement,

avec donc  images de mon cheminement, jusqu’à cette dernière de ma descente vers l’antre, avant de recopier mon 11bis qui n’apparaît pas sur le blog officiel de l’atelier de François Bon… vais sans doute continuer, mais là suis très en retard, et poursuivre pour mon seul plaisir (et pour faire fonctionner mon crâne) à contribuer à cet atelier

11bis - une certitude

 «  Nous pensâmes que nous vivions sans doute en un lieu, en un lieu dont rien ne savions  »

Nous pensâmes alors, en ce moment de sursaut, de brusque prise de conscience, alors que le froid nous faisait trembler, nous pensâmes alors, et en cet instant où nos regards se croisaient l'un de nous dit et les autres, hochant la tête, donnèrent leur accord à ces mots : que nous vivions sans doute en un lieu dont ne savions rien auparavant.

Nous nous regardâmes, et nos visages disaient notre accord, notre commune réaction, du moins nous le crûmes... notre accord sur cette idée qui nous venait : certainement en sera-t-il ainsi ensuite, et aucun de nous ne cherchait à comprendre ce qui nous le faisait croire.