Convaincue à tort que nous étions le 15 je suis passée à la pharmacie Grégoire qui bien entendu était ouverte pour acheter une provision de Probiolog pour deux mois puis me suis mise en quête de bidules pour les jeunes de Rosmerta, achetant d’abord des choux fourrés à la crème pâtissière (une quarantaine, stupidité autre) que la marchande a soigneusement disposés dans deux boites empilées dans un sac en papier… que j’ai donné quelques pas plus loin à des quémandeurs ravis pensant qu’ils avaient des chances de ne pas être halal, avant de passer à Monoprix acheter des petites meringues, des rochers de coco et des canistrelli qui me semblaient donner plus de garanties…
Lesquels ont été enfermés dans le bureau de Rosmerta, parce qu’ils n’intéressaient pas pour le moment les jeunes présents et que la bénévole présente devait comme cela avait été prévu partir pour retrouver à loisir sa fille revenant de vacances avant de partir elle-même en vacances demain… Notre présence a duré une petite demi-heure avant que nous partions ensemble jusqu’au bout de l’avenue pour partir, elle vers la Préfecture, moi vers la rue des Lices… Un petit vent frais s’était levé, bienvenu et quelques grosses gouttes paresseuses sont tombées. Je téléphonerai demain pour savoir si ma présence peut être utile… je crains bien qu’elle ne le soit pas.
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