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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

vendredi, septembre 26, 2025

Deuxième étage du Cloître Saint Louis : Montfavet

 


Se réveiller, ranger « Babylone » d'Arnaud Maïsetti lu pour le début de la nuit, la première de mes vraies lectures, rouvrir, et jeter un coup d'oeil sur le début de la première ligne en attente pour un au-revoir « C'est dans les murailles d'Uruk qu'est enfermé le secret de Babylone : sur la pierre d'assise du temple de la déesse Istar à qui est vouée la ville, maîtresse du ciel qui sait faire plier les grands dieux, les montagnes et les cœurs, souveraine des combats sanglants et des désirs, sont gravées quelques lettres qu'on ne lire jamais sans abattre les murs, la ville d'Uruk et le monde et Babylone qui reposent chacun sur cette pierre – c'est elle, cette piere de fondation que chante l'Epopée en ses commencements qui sont les commencements de tout ce qui pourrait avoir lieu : pierre du début des temps, chante le poème, soit glorieuse de voir inscrits en toi ces mots qui soutiennent les piliers dorés et les bronzes solides sous lesquels veillent les prêtres de la Dame d'Uruk, fille de la Lune, sœur du Soleil et des Enfers. » (que me soit pardonnée cette trop longue citation du chapitre « Gilgames » qui contient une facette du livre (manquent Marseille, Hammurabi, Sargon, les troupes américaines, Philadelphie, Berlin, Julien, Pietro Della Valle etc...)


Le livre fermé aller jeter le très lourd et grand sac contenant la vieille contrepointe achetée il y a dix huit ans à un brocanteur, bien trop grande et hors d'usage... et passer chez Fragonard acheter le bouti fleuri qu'instalerair après avoir acheté des couvertures puisque j'ai décidé de me passer de couette ce truc auquel je me suis jamais habituée (pour l'instant je me contente de couvertures de survie) et, revenue, m'attaquer aux trop nombreuses photos, pardon demandé et pourtant en ai jeté une dizaine, du second étage de l'exposition du Cloître Saint Louis, réservée à l'atelier de l'Hôpital psychiatrique de Montfavet et à son exposition intitulée « Le confident, l'indiscret et la console » (j'ai entendu le garçon qui veillait sur les visites expliquer qu'en gros le sujet était : le corps et le mobilier)


L’hôpital de Montfavet s’affirme comme un partenaire majeur et souhaite déployer des propositions artistiques et singulières. L’exposition « Le confident, l’indiscret et la console » déploie un cabinet de curiosités baroque et débridé mettant en scène des créations insolites et précieuses.

L’atelier Peau d’âme est un atelier de bricologie artistique à visée thérapeutique, il fait partie d’un dispositif de soins au sein du Forum Interpôles des Ateliers de Psychothérapie à Médiation Créatrice sous la direction du Dr. Bourgeois, favorisant la mise en œuvre d’un processus créatif à travers l’art du détournement d’objets, de l’assemblage, et de la métamorphose.

Il est co-animé par une artiste plasticienne Sabrina Gruss et deux infirmières Emmanuelle Brisse et Anne Cheyer.

Cette exposition présente les œuvres singulières des artistes Klara Pax, Christian Ripoll, HBB, Siou, Willow, Sabine Raousset, Cécile Lelouarn, Aldo Selmo, Sandy M, Frig Fra K, Emma et Anne.

Scénographie et direction artistique : Sabrina Gruss.

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