intérieure – état
végétatif, avec toute la modération hivernale – mon crâne est
en vacances
N'ont fonctionné, un peu,
que mes nerfs – agacement en constatant que Picasa, fermé
normalement, refusait avec entêtement de se rouvrir après un arrêt
de l'appareil, que cela a persisté après que l'ai désinstallé et
réinstallé, et s'est étendu à un logiciel téléchargé en
remplacement.
Je ne peux plus traiter,
classer et monter mes photos, la seule solution semblant être de
faire appel à centre de dépannage apple ce qui devra attendre...
Météorologie extérieure
: sortir, sentir un semblant d'aigreur fraîche dans l'air, un
souvenir presque éteint du vent, mais réjouir mes yeux dans le bleu
revenu,
dans la lumière qui
faisait étinceler le bois des vieilles persiennes, qui caressait les
pierres,
re-dessinait les façades,
affirmait les reliefs, posait des ombres.
Marcher en savourant ce
plaisir revenu, dans le désir d'en profiter, en voyant le voile qui
s'installait dans certains coins du ciel,
les nuages qui volaient au
fil du reste de vent.
Et, comme hier, à mes moments de conscience, j'ai fait
un bout de chemin avec Xénophon et les grecs (dans l'anabase)
8 commentaires:
Une belle et douce lumière semble envelopper tout Avignon. Soupir.
"anabase" est un mot qui pour moi fleure bon le banc d'école et mes quinze ans.
Comme les philosophes et les poètes
ton esprit et ta lecture semblent s'épanouir en marchant le nez au vent, ou dans les nuages
Le dieu météo ou plutôt la déesse. Fantasque !
Le bleu si bleu
tranquillité de l'âme
Même sans picasa, la lumière et les photos sont belles (et le cerveau, peut-être "végétatif", mais good lord, l'est plus brillant et incisif que tant d'autres en plein action :-)))
tu fais la pluie et le beau temps
si ça pouvait être vrai..
et puis non - trop de responsabilité, et je ne pourrais pas rouspéter
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