suis
allée poster
une
trentaine de cartes,
tradition
remplie -
déménagements,
oublis,
morts,
se font moins nombreuses
ciel
bleu à travers,
vaste
éventail déployé,
le
platane aimé
la
nuit, lumières en conque -
sous
l'envol de la masse
une
terrasse
des
arbres libres côtoient
pudeur
isolée -
ma
brève méditation,
emmitouflée
sous bonnet
une
cabane,
son
toit perdu, se pare
d'un
tatouage -
comme
ne sais où les mettre
ai
acheté des livres.
et, ne sais pourquoi, blogger s'entête à alourdir les tankas, les assoir avec force.
8 commentaires:
30 cartes n'est pas broutilles
Bravo , ai réduit aussi par abandon de la vie!
pour moi, un peu par inattention aussi je l'avoue
Tâche de saison sinon de raison.
Le cœur y est. Une manière de s'arrimer.
comme ne sais où les mettre..ai acheté des livres...j'adore la formule et le condensé de vérité qu'elle recèle
Les livres sont peut-être des cartes de vœux que l'on s'envoie à soi-même...
jolie et juste idée Dominique
Ne plus savoir où mettre les livres... ah oui, excellente raison d'en racheter ! On s'achète bien à manger tous les jours, et le lien créé avec les marchands compte souvent autant que la nourriture elle-même...
je fais une peinture spéciale cartes de vœux tous les ans
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