sur mur et vigne
le vase aux griffes vertes
branches sur le ciel
dressées et leur prières
sans repos pour plusieurs mois
sans repos pour plusieurs mois
ombre des maisons
et la chaleur soudaine
en écho au ciel
des feuilles lumineuses
qui nous parlent d'un
ailleurs
Les yeux levés, voir
doutant qu'elles soient
neuves
traces de combats
étranges en cette place
et m'en vais
m'interrogeant
feuilles des arbres
qui résistent encore
dont l'ombre danse
en posant leur tendresse
sur les colonnes et
Basquiat
4 commentaires:
Merci pour ces ombres qui dansent, souvenirs des hommes qui ont passé et des saisons qui passeront sous ce ciel d'Avignon...
Avignon comme théâtre des opérations... signe avant-coureur !
Ces jolies notations suffisent à mettre en scène vos photos (ou vice-versa).
Salut à toi ...Poète des matins - chagrin
Tu trouves toujours un élan de vie ,dans ton regard porté
grand merci à vous
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