La petite boule en gris et
noir, creusée, ridée comme une reinette talée,
s'en est allée, comme
pouvait, dans la lumière douce de la ville ce matin,
par les petites rues
fatiguées
et puis est revenue avec
un canard enchaîné, une barrette et des cigares – palpitant
n'est-il pas ?
Ai vécu tout doux, tout
vague, ai essayé, les beaux, ou intéressant, ou les deux, oloés
parus ces derniers temps http://relire.net/oloe/ m'en ayant donné envie, d'en revivre ou inventer un hors de
l'antre... et quand, en renâclant, un souvenir s'est décidé à
venir, c'est avec tel élan qu'il en est sorti un peu n'importe
quoi.. que ma foi j'ai envoyé quand même, on verra bien s'il est acceptable.
et puis j'ai cherché ce
que je pourrais bien mettre sur Paumée, n'ai trouvé que le néant
qui précède, poussée et intimidée par la lecture du journal de
Piero Cohen Hadria
http://www.pendantleweekend.net/2015/12/dix-sept-douze-quinze
12 commentaires:
ET lire aussi un peu vide .. ce journal dont tu cites les passages .. beau ce texte
cela conforte nos petits riens si importants en somme , puisque c'est la vie
la vie qui va "Madame "
toujours précieux le ton de Piero Cohen Hadria, et son humanité grande
Certains jours, certains matins surtout, incertains, comme ciel à venir.
Votre portrait ressemble à une peinture de maître...
Dominique, au moins par l'âge
"palpitant n'est-il pas ?"
Oui
images et paroles
d'ici,
ça palpite.
dolcissimo alors
et le voilà, le très bel oloé, temporel et portatif. Merci :)
MERCI !
Tu portes bien la coiffe
pas très raffinée la coiffe
Merci pour le visage/reinette
merci pour le partage/Cohen Hadria
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