un peu
d'ouate au ciel
chaleur
tendre sur les rues
paupières
brulées
avec charge de
draps et vêtements, mon cheminement paisible, les yeux cueillant les
premières fleurs des lauriers, les minuscules grappes en bouton
cachées dans les oliviers, notre printemps
lecture du
Canard enchaîné dans la cour où le soleil pose sa force sans la
brutalité à venir
et dans
l'après-midi de larges gouttes s'écrasant lentement sur les dalles avant que tonne le ciel
6 commentaires:
Apaisant sur Carcasse vôtre, le grand couvercle sans fond?
un jour un peu en marge, agréable
Aime les poses...apres des jours de ci de là l'esprit et le corps ont besoin de se reprendre un peu comme vide médian de François Cheng
et puis autant les aimer… puisque sont là
À ton calme, j'opposerais le gros orage accompagné d'une pluie diluvienne d'hier soir !
Pierre ici aussi orage mais très bref et un peu volontaire le calme, du genre lâcher-tout
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