commentaires

désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, juin 05, 2018

météo intérieure et sur la ville

nuages joueurs ou pesants, plages de soleil ou ondée, une lutte sourde se déroulait lentement dans le ciel.
Brigetoun en proie à une crainte à repousser, ou accepter et amadouer pour préparer décisions à prendre (et sans désir de retrouver cela), et à une petite lutte entre un désir égoïste de suivre sa pente et le devoir qu'elle devrait s'imposer, pour l'élégance muette, de renoncer à quelques spectacles pour accompagner des aimés et une masse dédaigneuse... fait silence jusqu'à dimanche sans doute.

12 commentaires:

casabotha a dit…

Le ciel veille Carcasse même au travers des nuages [alors longue vie au ciel attentionné]

Brigetoun a dit…

il était d'un bleu sombre très pur au dessus de mon chemin à dix heures du soir en sortant d'une réunion

Grimard Marie Christine a dit…

Bonne semaine à vous chère Brigitte quelle que soit votre décision.

Brigetoun a dit…

préparation à demain : rude journée, avec en plus des kilomètres à faire en piteuse forme (on y arrivera)

arlette a dit…

Pas facile...le ciel tinspirera

Brigetoun a dit…

tout dépend de la journée de demain… devrais avoir l'habitude pourtant (mais là il y a la joie du trajet vers la clinique à Sorgues… bon vais fermer)

jeandler a dit…

Aidons-nous et le ciel nous sourira.

Dominique Hasselmann a dit…

Une appli "météo intérieure" (sur smartphone) pourrait aider à prendre certaines décisions. Mais laissons encore une part de choix aux utilisateurs... si pas d'orage, voyage ?

Brigetoun a dit…

non là demain voyage vers une petite vile du coin et sa clinique

cjeanney a dit…

bon courage pour demain Brigitte, et pour tout ce qui est à l'approche (décisions, impératifs, le dictatorial de la vie :-(

Brigetoun a dit…

merci, à vous tous aussi (sourire)

mémoire du silence a dit…

On vient, on passe, on s'arrête,
on lit, on regarde, on repart,
on vous attend ...

"Une rose seule, c'est toutes les roses
et celle-ci : l'irremplaçable,
le parfait, le souple vocable
encadré par le texte des choses.

Comment jamais dire sans elle
ce que furent nos espérances,
et les tendres intermittences
dans la partance continuelle."

Rainer Maria Rilke / Vergers / Les Roses / Poésie Gallimard ... p.130