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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, juin 08, 2021

Sur mon trajet


rien que lumière

et ombres sur la ville

sourires, couleurs

un peu de joie muette

ce que l'on peut de langueur


Refaire monde ou la vie avec l'un, décomposer des groupes nominaux avec un autre. 


Revenir vers l'antre, des nuages se baladent... les roses sont lasses avant même de s'épanouir.

11 commentaires:

mémoire du silence a dit…

taches d'ombre
et rais de lumière
cheveux d'anges
dans le bleu du ciel
Trois Grâces si lasses

Brigetoun a dit…

et malgré le petit arrosage de la nuit, le petit lien pour redresser la trop fine tige mère sortent toujours épuisées de la nuit.. le vieux rosier que je croyais mort fait ce qu'il peut !

jeandler a dit…

Pas de lumière sans ombres. La vie serait sans reliefs.

jeandler a dit…

"mémoire du silence " en lumière que je salue au passage.

arlette a dit…

Ou les âges de la vie mais semblent bien jeunettes pour êtres si lasses C'est ainsi "Nouvelle Génération" Tout un symbole

Dominique Hasselmann a dit…

Le bleu, au-dessus du pont, sera toujours aussi bleu et beau... :-)

Brigetoun a dit…

Pierre et vice-verso - la lumière est ce qui fait aimer les ombres

Brigetoun a dit…

Arlette, elles plaignent et prennent en charge notre âge (sourire)

Brigetoun a dit…

Dominique, j'aimerais que ce soit vrai (mais on a eu beaucoup de gris pluvieux en mai)

Claudine a dit…

Juin écrasé dans ces villes aux pierres blanches et aux fleurs géantes
Bleu à retrouver dans mes boîtes de poudre

Brigetoun a dit…

oh Claudine très joli distique
mais les pierres sont souvent d'un gris sale et mes roses n'ont rien de géant