le feuillage dru
devenu comme éternel
du micocoulier
un coin de place
se préparant lentement
à la musique
un faux naturel
se voulant vertueusement
sans artifice
l'ombre qui berce
tendrement une attente
de pensées douces
à nouveau s'ouvre
la Maison de Jean Vilar
gardée par ses lions
partout étalées
les toiles des parasols
aux couleurs tendres
8 commentaires:
merci Dominique ! (plus picorage qu'inventaire en fait)
là, ci-dessus, je répondais au gentil commentaire de Dominique Hasselmann
bel inventaire parlant
Comme une attente paisible avant la déambulation des promeneurs ..
Et le tronc du micocoulier (beau mot) (toutes les qualités cet arbre :-)))
Arlette oui dans un trou
Christne, celui dont l'écorce ressemble le plus à une peau
on devine la chaleur dans votre beau pays
pas tant - là c'est juste agréable
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