en passant contre elles, je me suis sentie des affinités avec ces pierres, qui furent sures de leur force et dont l'effritement extrême n'a que peu d'importance sur la solidité de l'ensemble, tant que plusieurs, trop, ne viennent à manquer. Bon, idiot. A franchement parler elles m'ont surtout évoqué celles de mes plantes qui étaient gaillardes et que je vois mourir, à petit feu, depuis que je leur ai infligé des giclées pures d'un produit qui devait être très dilué.

En continuant à marcher et regarder les pierres que j'aime, je découvre toujours des détails au long des murs et de mes déambulations, comme, sous la frange des tuiles, celles qui sont chargées, en haut de la façade de l'hötel Crillon, de laisser passer l'eau de pluie, ciselées, ornées en harmonie avec le noble hôtel, mais si discrètes cependant qu'on les devine à peine sur ma photo. Gueuloirs, mais précieux comme de petits pages.

non plus les pierres, mais pour mon goût pour les chantiers, il y a la belle série de photos chez François Bon sur http://www.tierslivre.net/krnk/spip.php?article112